29 janvier 2008

Notre avenir ressemblera-t-il à ça ? À ce drôle de monde situé en 2011 (en fait, demain...) où une entreprise, « la Cellule », est chargée de contrôler l’opinion mondiale ? Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes, quand soudain l’opinion publique commence à ne vouloir en faire qu’à sa tête. Qui est responsable, qui est coupable ? Cinq personnages se retrouvent pris dans la nasse du texte acéré de Christophe Moyer. C’est prenant, haletant, ça fait froid dans le dos. Car c’est un futur si proche que nous donne à voir la Compagnie Sens Ascensionnels. Cette pièce est le second volet d’un projet intitulé « Tout est une question d’opinion ». Retrouvez-le premier volet, « Les Pensées de Mademoiselle Miss », mercredi 27 février à 19h30.

* La cellule, jeudi 31 janvier à 15h, vendredi 1er février à 14h30 et 20h30. Tarifs : 10 € (plein), 8 € (réduit), 7 € (adhérent, groupes). Pass à 12 € pour “la cellule” et “les pensées de mlle Miss” ou forfait 20 € avec le stage d’écriture.

Recording et overdubs, mode d'emploi...

Vous voulez savoir comment enregistrer des voix, une guitare ? Comment ne pas avoir de buzz sur vos 96 pistes? Tout comprendre de Pro Tools ? Venez mercredi à partir de 18h30 à l'Escapade pour la rencontre avec les pros. Elle sera consacrée à l'enregistrement studio et toutes ses ficelles. En prime, vous aurez droit à un showcase acoustique de Wido. Et tout ça c'est gratuit ! Que demandez de plus ? Carla Bruni ? Désolé mais elle est overbookée...

Souvenirs, souvenirs...

Quelques images glanées de-ci, de-là pendant les trois jours du Planet' Blues rock Festival.
Un mythe à la Belle Anglaise.
Marcus Malone a assuré le spectacle malgré une guitare cassé juste avant le concert. The show must go on...
Dusk. Une réussite pour une première grande scène.
Gwyn Ashton : Rest in paradise...
... Et sous les feux de la rampe.

28 janvier 2008

Retour sur terre...

Pas facile de revenir aux dures réalités de la vie après la dernière journée du Planet'Blues Rock Festival. Samedi soir, c'était le grand final. Ça devait être la fête, ça a été un feu d'artifice. Dusk, le vainqueur de la première édition du tremplin "Coup de ressort" a chauffé le public à blanc avec son surf-rock élégant et nerveux. Et pourtant, les choses n'avaient commencé au mieux pour eux entre un émetteur HF qui jouait les filles de l'air et un ampli basse qui faisait des caprices. On en a vu rendre les armes pour moins que ça. Les Dusk, formés à la rude école des "bars à ziq", ne se sont pas démontés et sont rentrés dans le concert comme si leur vie en dépendait. Et le public a aimé. Les gars, revenez quand vous voulez !
Chez Gwyn, c'est le feeling qui parle. Une façon subtile, personnelle et parfois déroutante de délivrer sa vision de la "twelve bar music" (autrement dit le blues). Samedi, ce grand maître du bottleneck devait un peu se sentir chez lui à l'Escapade. Dans une formule peu usitée dans le blues (guitare et batterie), Gwyn et son compère Paul King ont littéralement transporté le public pendant plus de deux heures et demi du Delta du Mississipi aux rives du Lac Michigan, du shuffle acoustique au boogie rock distordu. Avec en prime, un bel hommage à Stevie Ray Vaughan tout en finesse et en retenue, interprété sur une Strat hors d'âge.
Le Planet' blues rock festival, premier du nom vient de refermer ses portes. Alors, on prend rendez-vous pour l'année prochaine ?
Pedro, le bassiste de Dusk, tout à l'énergie.
Dusk à l'ouvrage.
Gwyn Ashton et son batteur Paul King ont enflammé l'Escapade.
L'ombre du maître.
Gwyn Page ou Jimmy Ashton ?

26 janvier 2008

Bienvenue sur la planète blues rock...

Hier, deuxième soirée du "Planète Blues Rock Festival". A l'affiche Christophe Marquilly, grippé, mais qui a comme assuré comme une bête; et Marcus Malone et son funky blues qui a fait danser l'Escapade. Avec en prime, un boeuf avec Gwyn Ashton. Il se plaît à Hénin, notre Australien.
Ce dernier rendez-vous du festival avec Dusk, vainqueur du tremplin "Coup de ressort" et... Gwyn Ashton ! Début des festivité à 20h30. Pour ceux qui n'auraient pas encore leur place, c'est 16 € (plein) et 14 € (réduit).
En fin d'après-midi, les guitaristes en herbe ou confirmés ou amateurs de blues peuvent venir à une masterclass exceptionnelle donnée par Gwyn himself, de 17h45 à 18h45, pour la modique somme de 30 €. Venez nombreux faire chauffer les cordes !




25 janvier 2008

Avec le bonjour d'Agathe...

... Ze blues, bien évidemment. Hier soir, c'était la première date du Planet' blues rock festival, une coproduction Escapade/Blue box. Histoire de se mettre en jambes, ce premier rendez-vous se déroulait chez Fabrice Guillaumet, en son repaire de la Belle Anglaise, avec une affiche régionale qui a tenu toutes ses promesses. Les Lillois de Blue Pepper ont ouvert le show avec un blues tendance "roots". Pas de fioritures, mais des grands classiques revisités avec bonheur et une version bluesy d'une chanson... des Capenoules. Surprenant et très drôle. Avec Cash, on est dans la révérence aux grands noms que sont Popa Chubby, Stevie Ray Vaughan, Tom Principato ou encore Jimi Hendrix. Mais on ne verse pas pour autant dans l'idolatrie transie, le trio de vieux routiers du circuit des clubs et des bars sait mettre sa griffe sur les standards pour les assaisonner en un blues/rock/boogie des plus réjouissants.
La soirée se déroulait sans anicroche, les notes et la bière coulaient à flots, quand soudain... discrètement, presqu'en catimini Gwyn Ashton, qui sera la tête d'affiche du concert de samedi, est venu prendre la température du lieu. Et que croyez-vous qu'il se passât ? A l'instar des banquets qui clôturent les aventures d'Astérix, ce premier concert s'est achevé sur un boeuf mémorable entre Cash et Gwyn Ashton. Un final qui donne le ton du festival, du feeling en toute décontraction.
Ce soir, c'est à l'Escapade que ça se passe avec Christophe Marquilly qui viendra présenter ses nouveaux morceaux et Marcus Malone et son blues swinguant qui n'est pas sans rappeler Hendrix. Chaud devant ! Ça commence à 20h30. Tarifs : 16 € (plein) et 14 € (réduit).

Blue Pepper, le retour aux racines.
Jean-Luc Ropital, le pistolero de Cash et fils spirituel de Stevie Ray de ce côté de la Deûle.
Raaaoullll....a le blues!!!
Gwyn asthon a donné un (petit) aperçu de son talent. Ça promet pour samedi soir...
Pedro, le bassiste de Dusk, immortalise celui qui jouera ... après eux samedi soir.