Chansons, marionettes et théâtre se mettent au service de cette histoire simple de Jean-Maurice Boudeulle (qui signe aussi la mise en scène). Un récit plein de tendresse qui pointe avec justesse la solitude de certains enfants ainsi que la culpabilité de certaines mères dans l’obligation de travailler.
*Les monstres de ma mère, ce soir à 19h. Tarifs : 8 € (plein), 5 € (réduit)
18 décembre 2006
La mer qu'on voit danser...
Recèle parfois l'imaginaire débridé de petites filles solitaires. Il en est ainsi de Noémie qui, à force de jouer toute seule, s’est inventé, s’est fabriqué, un petit monde, un monde sous-marin presque pareil à celui des grands océans, habité et vivant. Un vrai monde “ comme si ”, qu’elle visite chaque jour à la recherche des naufragés perdus en mer. Sa maman lui a promis. Quand elle aura fini son travail, elle jouera avec Noémie : “ Après ! ”. Seulement “ Après ” est long à venir et les Monstres de la mer deviennent de plus en plus encombrants et… menaçants !Du théâtre, bien sûr, mais aussi des chansons et des marionnettes pour raconter l’histoire de Noémie.
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